Robyn Blackwell
○ Messages : 12 ○ Pseudo : avengedinchains ○ Celebrity + © : Caitriona Balfe ~fassylover
| Sujet: TERMINE - Robyn ~ Things we lost in the fire Lun 23 Mar - 19:50 | |
| just tonight @danilojequitili, unknown.
-(Robyn Blackwell)-
PRÉNOM, NOM : Robyn Blackwell ÂGE, LIEU DE NAISSANCE : 35 ans, née à Glasgow. NATIONALITÉ, ORIGINES : Nationalité irlandaise mais on peut dire qu'elle vient d'un peu partout avec ses ancêtres. STATUT CIVIL : Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. EMPLOI, ÉTUDES : Professeur d'arts dramatique à l'université. SITUATION FINANCIÈRE : ££££, non, elle ne veut pas qu'on lui tienne la main. TRAITS DE CARACTÈRE : réfléchie, posée, intelligente, distante, froide, menteuse, moqueuse, enjouée, passionnée, rêveuse, cash, courageuse, insolente, mystérieuse, cachottière, dynamique, motivée, intéressante, attachante, souriante, maladroite, désordonnée, joueuse, responsable, indépendante, têtu, imaginative.. GROUPE : masters. I ★ WE HAD THINGS THAT WE LIVED FOR.En plus des informations à énumérer ci-dessous, nous vous demandons de répondre à ces quelques questions. Pour développer un maximum l'avis de votre personnage vis-à-vis de l'Histoire, un minimum de quatre lignes vous est demandé. 01. Que pensez-vous des différentes classes à Cambridge et de la guerre qu'elles se livrent? L'observation à distance se révélait utile, pendant ses années d'études. Elle s'en moque, elle, des clubs et de tout ça, elle espère juste que les élèves sont conscients qu'ils se gâchent la vie à force d'être éloignés les uns des autres. Cela n'a pas de sens, ça ne sert à rien et cela l'énerve. En réalité, pourquoi est-ce qu'ils ne sont même pas capable de devenir amis ? Pourquoi sont-ils forcément les premiers à se battre quand cela s'avère nécessaire. Pourquoi se faire la guerre, lorsqu'il est possible de trouver une entente ? Qu'il y en ait qui se pensent au-dessus ? Ca la dépasse. Ils sont tous humains après tout. Et pourtant, elle aurait sans doute pu faire parti de l'élite, si elle l'avait voulu. Mais cela ne l'intéresse pas, et désormais, elle promet de les punir, s'ils prennent le risque de s'en prendre les uns aux autres. Hors de question pour elle de laisser une stupide gueguerre l'emporter sur la scolarité. 02. Comment vous sentez-vous par rapport à votre propre statut? Je suis professeur et de ce fait, je refuse d'en laisser certains au-dessus des autres. Je représente l'adulte, la personne à qui on est supposé faire confiance et ce, peu importe le club qui semble si supérieur. Alors oui, peut-être que j'ai une petite dent contre ceux qui s'estiment au sommet de la chaîne, comme ils semblent le penser, mais c'est normal, puisqu'ils s'estiment tant supérieur… Je les exècre, en réalité, et j'imagine que ce n'est pas près de changer, sauf s'ils changent eux-mêmes. Mais je vois bien que ce n'est pas près de changer, je ne suis pas stupide à ce point… 03. Avez-vous entendu parler de la disparition des cinq filles il y a vingt ans? Croyez-vous aux rumeurs? J'en ai entendu bien sûr. Il y a vingt ans, j'étais une jeune fille moi aussi. Non que je sois si vieille que ça, bien entendu. Mais je sais très bien ce qu'il s'est passé ou en tout cas, ce que le bruit prétend. Je n'irais pas prétendre que j'y crois, puisque je n'en sais rien, mais je n'irais pas non plus dire que je n'y crois pas. Ca fait peur en tout cas, c'est la seule évidence qui semble me frapper. Et cinq disparitions, ce n'est pas rien non plus. Cela ne s'oublie pas, mais ce ne sont que des rumeurs. Leurs disparitions peuvent être dues à n'importe quoi. Il ne faut pas céder à la panique, sinon, il ne nous reste plus rien... Etre une nouvelle riche n'a jamais rien eu de facile. Pour cette raison on l'a très souvent persécutée. Encore aujourd'hui, elle ne comprend as pourquoi. (+) A cause du travail de son père, elle ne tenait pas en place, ils passaient leurs temps à déménager et pour se faire des amis, il y avait quand même mieux comme situation. Elle n'a pu réellement s'installer qu'une fois au lycée et elle ne savait déjà plus vraiment comment s'attacher à quelqu'un (+) Son rêve étant de devenir professeur d'université, elle s'est donnée tous les moyens pour y parvenir, au moins sur ça, son père se montrait fier d'elle. Elle était tout le temps la meilleure de sa classe, allant jusqu'à prendre trop d'option et trop de devoirs à faire pour réussir en cas de difficulté dans une matière (+) Les guerres de clubs, ce n'était absolument pas son genre, son truc à elle, c'était de regarder de loin, elle trouve toujours ça complètement ridicule (+) Elle a enchaîné les échecs au niveau relation. Quoi de plus normal quand on galère déjà à se faire un ami ? Elle est incapable de penser à une relation sur le long terme, au bout d'un mois, elle trouve déjà que ça a trop duré (+) Elle aime se mettre des barrières et tout garder sous contrôle, elle fait attention à tout ce qu'elle dit ou fait (+) Elle déteste dépendre de l'argent de son père alors elle ne lui en demande jamais, préférant galérer certains mois, elle trouve ça beaucoup plus honorable (+) Elle n'a jamais fumé et ne boit qu'occasionnellement. Non qu'être bourrée la dérange mais disons qu'elle ne sait pas vraiment marcher droit ou rester calme, lorsqu'elle picole un peu trop. Et le lendemain, elle a toujours trop honte (+) Les amis, elle galère, même si elle essaie. Elle a toujours l'impression que ce ne sera qu'une amitié éphémère alors elle ne fait jamais le premier pas vers les gens, ce qu'on lui reproche. C'est toujours aux autres de prendre de ses nouvelles, elle n'en prend pas (+) Sa mère est morte en la mettant en monde, elle a hérité d'elle son prénom et ses yeux (+) Son père vient de se remarier à une nana qu'elle déteste, une femme de son âge en plus, alors autant le dire, il n'y a pas beaucoup de facteurs qui puissent lui permettre de l'apprécier. (+) Sans dire qu'elle ment souvent, elle ne rate jamais une occasion pour raconter n'importe quoi plutôt que de blesser quelqu'un, elle trouve ça plus facile, même si parfois, son mensonge va si loin qu'elle se fait prendre à son propre piège .. ; II ★ BURN BRIGHTER THAN THE SUN.L'amitié. Ce sujet si étrange qu'il semble parfois difficile à comprendre. Je n'ai jamais vraiment cherché à y parvenir, je n'ai jamais vraiment réfléchi au sens de ce mot. Mon père nous a fait déménager neuf fois. Certes, son boulot était important, il nous permettait de manger. Certes, je n'avais pas vraiment le choix puisque l'enfant n'a pas le droit de se plaindre. Sauf que je ne déménageais pas de villes dans un même pays, non, je déménageais dans des pays différentes, des continents… Différents. Ainsi, j'ai connu la France, les Etats-Unis ou encore l'Italie. Comme ça, ça semble amusant sans doute. C'était beau là bas, je ne prétends pas le contraire. Sauf que je ne parviens toujours pas à comprendre comment est-ce qu'un enfant est censé se développer comme ça. D'accord oui, cela m'a permise de découvrir de nouvelles cultures, des lieux que je n'aurais peut-être jamais pu visiter dans une autre vie. Mais je m'en moquais bien. Au bout du compte, je ne défaisais même plus mes cartons, ils restaient tel quel. J'en avais assez de croire que ma vie allait peut-être enfin rester au même endroit, que j'allais enfin pouvoir me faire une petite place. J'en avais marre de faire « mon premier jour » à l'école, à chaque fois. J'étais le mouton noir, la bête de foire. Le nouveau jouet de ceux qui aimaient torturer les autres. Je ne comprenais pas pourquoi on ne m'aimait pas mais je ne cherchais pas à comprendre puisque je savais que j'allais finir par partir. En réalité, je n'ai même pas cherché à me lier aux gens, je les repoussais à chaque fois. Je les détestais tous. Ils avaient l'air gentil, marrant et tout ça. Mais je n'avais même pas le droit de les connaître, puisque j'allais devoir repartir et que j'ignorais seulement dans combien de temps ce serait. Quand nous sommes arrivés à Londres et que mon père m'a dit que nous n'allions plus bouger, honnêtement, je ne l'ai pas cru. J'ai pensé qu'il me disait ça parce que je voulais l'entendre, uniquement. J'avais dix-sept ans, besoin de me poser de connaître une vie un peu plus stable. Je rêvais d'amour et de fête, ce genre de chose. Sauf qu'en rêver, cela ne voulait pas dire qu'on en trouvait, au contraire d'ailleurs. M'enfin bref, j'ai laissé passer les jours quoi. J'ai attendu de voir, puisque je n'arrivais pas du tout à y croire. Il m'aura fallu un an pour m'en rendre compte. Entre temps, ma route a croisé celle de Marcus. Au début, je le regardais de loin, il avait l'air sympa. Je suis incapable de dire, même aujourd'hui, pourquoi nous nous sommes rapprochés. J'étais celle qui repoussait tout le monde, qui disait à qui voulait l'entendre que j'allais partir un jour et que ça ne servait à rien. C'est surtout quand nous avons tous les deux été acceptés à Cambridge que la situation a changé. Nous étions euphoriques ! Je réalisais que je n'allais plus changer de ville, que j'allais vraiment rester et que cette fois, j'allais pouvoir faire ce que je voulais. Mon père partait en voyage d'affaire parfois, mais il ne me demandait plus d'y aller avec lui. Je sais qu'il m'aime, je n'irais jamais croire le contraire. Sinon, il n'aurait jamais pris la peine de s'ennuyer avec moi dans tous ses déplacements. Mais il m'a prise avec lui. Et même si c'est parfois tendu entre nous, je sais que je pourrais toujours compter sur lui. Sur ça, je n'ai aucun doute. Première amitié, première folie. Avec Marcus, je faisais tout. J'étais incapable de m'éloigner de lui très longtemps, j'étais constamment collée à lui, nous faisions les 400 coups mais je savais que peu importait ce qu'il se passerait, nous serions là l'un pour l'autre. Sauf qu'un jour, je me suis mise à le regarder différemment. D'un seul coup, il est devenu beau, attirant, sexy… Je buvais chaque parole, et j'avais envie de l'embrasser. Mais elle n'oserait jamais le lui dire, de peur de le perdre. Lui, cet ami si précieux, ce frère sur qui elle pourra toujours compter. Alors un jeu malsain s'est glissé entre eux. Comment a-t-elle pu briser son mariage ? Elle le regrettera sans doute toute sa vie. Mais elle regrette aussi de l'avoir laissé se marier. De n'avoir rien dit ce jour là. Maintenant, il faut que je lui dise ce que je ressens. Il le faut vraiment… Mais je n'y arrive pas. PSEUDO, PRÉNOM : écrire ici. ÂGE, LIEU DE RÉSIDENCE : écrire ici. AVATAR : écrire ici. SCÉNARIO, INVENTÉ : écrire ici. AUTRES : écrire ici.
Dernière édition par Robyn Blackwell le Mer 25 Mar - 22:38, édité 10 fois |
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Raegan Warren ❈ MAGNETIC baby.
○ Messages : 192 ○ Pseudo : wolf hearted. ○ Celebrity + © : crystal reed + milkovich ○ Civil status : single. saving herself for marriage, of course. ○ Job|Studies + £ : studying architecture @ cambridge + £££££. ○ Priorities : go to church, call daddy, drink until the sky is spinning, take over the world.
DIRTY ROTTEN SCANDALS. ○ LITTLE BLACK BOOK: ○ AVAILABILITIES: free 3/4 (blaze, heiden, grayson)
| Sujet: Re: TERMINE - Robyn ~ Things we lost in the fire Mar 24 Mar - 12:33 | |
| JE VOUS SHIPPE DÉJÀ TELLEMENT sérieusement, caitriona est trop un bon choix bienvenue parmi nous |
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